Maelle découvre la chasse à la Sweet

J'arrivais dans la forêt flaira une odeure d'enfant je me dirigea vers mon manger. Maelle me suivait de loin. Je dégustait l'odeur allèchant.

" Attention Maelle je suis presque arriver à mon terrain de chasse si tu ne te sens pas bien en me voyant chasser tu peus partir. "

J'avança doucement, la nuit état sombre, en dehors de l'odeur d'enfant je sentais l'odeur d'un feu de bois. J'arriva à la clairière et vis mon dîner : un camp scout...

Sweet m’avais amener dans la forêt, il faisais nuit et une douce brise soufflais a travers les arbres. A un moment Sweet s’arrêtât ; elle avait sentis sa proie ; moi qui était rester en arrière je me mit à humer les odeurs du bois, parmi elles je sentais un odeur de petit garçon, seul, comme je ne sentait aucune odeur d’animaux digne de ce nom, je compris ce que Sweet allait faire : bouffer un gosse.
Je lui dit :

Haaa , tu mange des gosse, bon bah bon appétit.

En deux coups d’ailes, j’était dans un arbre pour observer la scène de haut.

J'arrivais doucement dans le camp c'était parfait, les chefs roupillaitent dans leurs tentes et j'étais tomber pile le jour de la veille de feu, les mômes s'empifraent de bonbons et de chamalows grillés. Quelques un étaient endormis près du feu les autres se racontaient des histoires d'horreurs. Je m'avançais et passa à côtée d'une tente, étrange je sentais dans la tente l'odeur des enfants, et des chuchotements me parvinrent. Les trouillards dormaient dans la tente, un scout sortis pour allée au petit coin, il sentait le sucre, je l'assoma avec une branche d'arbre et le vida de son sang. Quand j'eus fini de boire j'entendis:

" Tien Hervé n'est pas revenu ?"

Je tira sur un sac de couchage et sortis un petit, je planta mes crocs dans son poigné et le vida de son sang. J'entra dans le sac de couchage après avoir enlevé le cadavre. Et je dis:

" Ne vous inquiétez pas je suis là. "

[...] Je sortis de la tente laissant derrrière moi les corps sans vie de quelques scouts. Puis je m'approcha du feu, tout le monde dormais sauf un, il regardait les flammes, je me glissa à côté de lui il ne m'avait pas remarquée, quand soudain il tourna la tête, trop tard je luis suçait le sang. Quand j'eus fini je fis les un après les autres.
Soudain un se réveilla il me dit:

" Qui es tu ?"
" Une personne qui te veus du bien."
" Ah bon ? "

Je me pencha vers lui l'embrassa et planta mes dents dans sa bouche, je le dégustait du sang coulait au bord de ses lèvres et le long de sa joue. Quand je lu vider. J'ouvris la tente des chefs et vis deux jeune femme qui dormait paisiblement elles étaient très belle. Je pensa à Lordward. Je me retourna quitta le camp et regagna la forêt Maelle descendit de son arbre à ma rencontre.

J’était estomaquer de la vitesse a laquelle Sweet dévorait ces enfants, quand elle eu finie je descendit donc de mon arbre pour aller a la rencontre de Sweet tout en regardant les corps disséminer dans tout le camps. Comme je sentait quelle n’avait plus faim je m’approchât plus.

Je doit dire que c’est très efficace mais ce n’est pas drôle ; ils n’essai même pas de se défendre.

Pendant que je regardais le carnage de Sweet et que j’était dans mon arbre, j’avais un peut commencer à me transformer : mes yeux était devenu doré, mes dents avais pousser, mes canine dépassait un peut de mes lèvres, des oreilles de loups était sortis et mes ongles était devenu plus long, plus pointu et plus dur ; en sortant de l’ombre ça avais du faire un choc à Sweet.
En attendant le loup dans mon corps commençais à s’impatienter :

Bon elle ne nous en a pas laisser un peut ?!

Je lui répondit :

Ne t’inquiète pas ; nous, nous ne chassons pas des gosses mais des animaux donc attend un peut.

Quand je vis que Maelle commençait à se transformer en loup, je ne su que dire. Je détestais les loups garous, mais elle, elle n'étais pas loup garou. Je lui dis :

" Si jamais tu avais faim, il reste les chefs dans la tente, je pense que Lordward aurait pu s'en régaler, mais il n'est pas là alors sers toi si tu veus."

Je regarda autour de moi la forêt étais silencieuse, magnifique, sombre, mais silencieuse trop silencieuse. Je me retourna vers Maelle...

Sweet m’avait proposer de finir les chefs mais je lui répondit :

Ne t’en fait pas pour nous heu…pour moi j’ai besoin de me dégourdir les jambe de toute façon , il doit bien y avoir quelque cerf a me mettre sous la dent, une biche j’aimerais bien enfin je ne vais pas trop faire la difficile ; tu pourra regardé si tu veut.

Soudain je sentis quelqu’un s’approcher, je grognât un peut et me pliât prête à bondire sur l’intrus ; le loup qui fait ma double personnalité se prépara a bondire également sur cet personne et de le tuer.

J'avais entendu du bruit, se n'étais pas le bruit d'un animal, mais je vis Maelle à l'affut. L'action allais commencer, je me préparais à m'amuser, espèrant qu'il y aura du monde à ce petit jeu, [ nous invitons tous ceux qui sont en manquent d'action. ]

" Maelle, je ne pense pas que tu vas manger de la biche tout de suite, à moin que..."

Olbania sentait la présence d'un camp et voulait s'y rendre pour se nourrir mais une foie arrivée à proximitée , elle sentit l'odeur de Sweet et d'une autre inconue . Elle grimpa à un arbre et saut juste devant Sweet sans faire de bruit . Bien sur elle se doutait que celle-ci l'avait vu et entendu mais la nouvelle en aucun ca n'aurait put avoir la vue et l'ouie d'un vampire.
"Bonsoir, Sweet..."
Elle prononca ces paroles sur un ton glacial , plus glacial qu'elle ne l'aurait pensé .
"Il ne reste plus rien à manger ?"
Olbania eu un petit rictus sur le coin de la bouche et se tourna vers la nouvelle .
"Tu t'es réservé le meilleur pour la fin ..."
Elle regarda la nouvelle et la sonda rapidement . Elle avait deux auras en elle . Bien étrange ...

Je regarda Olbania souriante comme une poupée.

" Bonsoire Olbania, j'ai invité d'autre gens mais ils n'ont pas l'air de vouloire venir, à moin qu'il ne lisent pas leurs messages. Tu es la première, dis moi tu manges quoi ?"

Maelle se tourna vers Olbania...

Le sourire hypocrite de Sweet donnait la nausée àOlbania mais celle-ci décida de garder son calme .
"Voyons Sweet , tu sais très bien que je suis une croqueuse d'hommes ."
Dit-elle en souriant et en montrant ses dents parfaitements blanches et acérées.

" Tu ne manges que des hommes, pas d'enfants ni de femmes, quel domage, j'avais laisser quelques casse croute dans la tente mais je vais devoir les proposer à quelqu'un d'autre. "

Olbania m'exaspérait plus que tout avec ses " croqueuse d'hommes" brr... Tu parles est ce qu'au moin elle avait un mari ou un truc dans ce genre au lycée, je ne penses pas, à moi que se soit un humain, sot, et pas doué. Moi j'avais un mari si on peut appelé ça comme sa et j'espèrait qu'il vienne.

La nouvelle arrivante était très sur d'elle; trop sur d'elle même et vu le ton de la conversation et les ondes quelle émanait Sweet ne devais pas la porter dans son cœur et l'autre non plus d’ailleurs. En un seul coup d’œil je vit dans quelle camp je devais aller. Je dit a l’inconnue avec un petit sourire mi-moqueur, mi-angélique :

Dit donc tu est pas la fille qui avait un fermeture sure la bouche? T’a réussi a l’enlever, dommage ça t’allais bien.
Sinon que fait tu là à nous chercher des noises; alors soit vous arrêter de blablaté et on attaque les chose sérieuse soit tu t’en va.

Cela dit je sortis un peut plus mes griffes discrètement j’avais faim et quand j’ai faim et qu’on m’empêche de manger, à moins que se ne soit vraiment important, je m’énerve.

Mon loup me dit :
Allé que ta copine lui casse la gueule qu’on en finisse ; j’ai faaiimm !!!

J'arrivais dans la forêt et appercut Sweet , Olbania et quelqu'un que je ne connaissais pas . Je regardais Sweet du coin de l'oeil pour savoir de quel camp était la fille et quand je l'entendit parler du coup de la fermeture sur la bouche d'Olania je ne put m'empecher de rire .


"ha ha ! Je m'en souveins très bien ! J'avais participé au carnage avec Sweet , Lordward et bien d'autres encore ! Que de souvenirs ...Le bon vieux temps !"


Puis mon sourire se brisa quand je posais les yeux sur "l'autruche" .


"T'es venu là pour quoi toi ? "


Dis-je en regardant Olbania d'un air furieux et curieux , tout en gardant une main sur mon ventre en souvenir du jour de la naissance de Nett .

" C'est une invitée"

Dis je en regardant Olbania avec mon sourire sadique habituelle.

" Je pense qu'elle est l'être le plus suprême pour mettre de l'action si vous voyez se que je veus dire."

Je regarda Ludmaya d'un regard bien à moi, mes yeux disaient " je pense qu'on va s'amuser à moin qu'elle s'en aille comme une trouillarde". Puis mon regard se dirigea vers Maelle, elle avait faim, trop faim...

Au bout d’un moment une nouvelle arrivante fis son apparition, c’était un démon vus son odeur et apparemment elle connaissait aussi olbania « l’attraction national » apparemment.
Je dit à cette nouvelle arrivante :

Bonjour, je m’appelle Maelle, je suis une fée animale; toi aussi tu viens pour t’amuser ?
Excuse moi mais là il faut vraiment que je mange quelque chose, alors attendez quelque seconde .

Avisant un lapin de garenne dans un buisson je me jetât sur lui et lui brisa la colonne vertébral d’un coup de dents cette action n’avais durée q’une fraction de seconde mais ça avais peut être sufis pour que tout le p’tit monde comprenne que je n’était pas du genre a me laisser faire.
Je revins vers la clairière avec le lapin à la main, m’assis et le dévoras en ne laissant que les os, je me relevas en me léchant le tour des lèvres et dit :

Bon me voilà rassasier, si on passait au chose sérieuse.

Je ris à gorge déployée, tout le monde voulais s'amuser, je regarda Olbania.

" Bon alors on va commencer la fête même si il n'y a pas tout les invités. Quesque vous voulez faire ? Proposée."

Je souris des intincelles aux yeux...

Un endroit calme, un lieu de détente. Telle était la description de la vallée silencieuse qu'on avait faite à Sony. En ayant entendu ça, Sony avait directement voulu y venir car il s'était dit que personne ne viendrait le déranger. Mais il aurait dû abandonner cette idée dès le départ car peut importe où il allait, il y avait toujours quelqu'un ou quelque chose pour le sortir de ses rêves...
Et cette fois, la chose qui l'avait perturbé était le fait qu'il s'était perdu dans ce vaste endroit, évènement anodin mais qui énervait plus que tout Sony.
Et alors qu'il pensait être seul dans cette endroit, il vit au loin un camp de scout. Outre le fait qu'il ne serait plus seul s'il allait là-bas, il vit le bon côté des choses : Il pourrait demander à manger car il avait faim (pour cause d'avoir erré plusieurs heures) et il pourrait demander une boussole (histoire de retrouver son chemin).
Entrant alors dans le camp, Sony regarda tout autour de lui... Il n'y avait que des cadavres. Sony comprit alors que quelqu'un, ou plutôt quelque chose était passé avant lui et avait fait un "repas".

« Qu'ils sont chiant ces monstres... », Avait-il dit inconsciemment.

Et alors qu'il allait quitter cet endroit rempli de cadavre, Sony entendit une belle voix dire quelque chose du genre "Qu'est-ce que vous voulez faire". Il s'approcha de cette voix et vit quatre personnes. Une gamine et trois autres jeunes filles.
En les voyant, Sony répondit à la question qui venait d'être posée, même si elle ne lui était pas destinée...

« Ce que je veux faire ? En temps normal, j'aurais dit liquider les monstres qui ont fait ça mais bon... Pourriez-vous m'indiquer le chemin pour rentrer en ville ? »

Ne s'attardant pas sur les visages des "monstres" (car d'après les déductions de Sony, aucune des quatre ne pouvait être humaine pour la simple raison qu'elles seraient mortes comme tout les autres ici présent), Sony attendit une réponse à sa question.

Je m'approchais de l'inconnu qui avait une si bonne odeur et me donnais envie de le dévorer en lui arrachant ses entrailles un par un , mais je décidais de m'en occuper plus tard .

"Chère...hum disons inconnu , je ne suis pas arrivée à temps malheureusement et les seuls survivants sont des chefs scouts . Si j'étais arrivée avant ne vous inquiéttez pas , j'aurais dévoré ces enfants sans les faire souffrir...ou plutôt si ! "


Puis j'éclatais d'un rire diabolique .


"Vous voulez vraiment nous quitter ? Ne voulez-vous pas être "l'invité d'honneur" de nôtre diner ? "


Puis , pour me raprocher de lui je poussais Olbania par terre et je marchais sur elle pour m'essuyer les pieds .


"Prennez à droite apres le grand chêne puis continuez tout droit sur deux kilomêtres et pour finir construisez un pont pour passer par dessus le ravin . Sinon vous pouvez aussi vous retourner et marcher droit devant pendant cinq kilometres , à vous de choisir !"

Je vis l'humain s'approcher de nous, il a de la chance 1: j'ai déja manger il ne risque rien, 2: Nous avons un invté de plus donc il ne faut pas tuer les invités ( sauf exeption ).

" Tu veus déjà nous quitter, tu viens juste d'arriver, dit moi c'est quoi ton passe temps. "

Je lui souris de toutes mes dents...

Une nouvelle personne fit son apparition dans la clairiére, d'aprés son odeur il devait appartenir à la race des hommes, il était était jeune et plutot mignon; je m'aprochat de lui doucement et arrivat à sa droite, je lui dit e souriant et en penchant la téte un peut sur le coté:

Bonjour, je m'apelle Maelle, je suis une fée et toi tu doit étre un humain je me trompe je ne vous avez jamais vu auparavent, n'ayez pas peur de Sweet
tant que vous étes avec moi vous ne devez pas avoir peur.

Sur ce je papionnat des yeux en le regardant en face.

Olbania aait vu arriver son bel etranger et commencait à s'approcher de lui quand elle se fit écraser par Ludmaya . Elle se revleva et sourit puis continua sa route vers lui .
"Laissez-le un peu tranquille vous deux ! Il n'est pas là pour chercher les ennuis alors on se calme !"
Elle lui prit la main et le mit à l'écrat pour pouvoir lui dire des choses.
"Méfie-toi de Sweet et de Ludmaya . Elle peuvent etre tres cruelles quand elles veulent . Je ne sais pas encore si Maelle peut se retourner contre sa propre classe mais si elle est du côté de Sweet alors méfie-toi aussi d'elle ."
elle se pencha plus près de son oreille et lui souffla la VERITABLE direction pour partir de la forêt. Puis le regarda dans les yeux et l'embrassa sur les levres .
"Mmm...Quel gout délicieux..."
Et sans comprendre pourquoi , elle arriva à la conclusion qu'elle l'aimais vraiment , sans même connaitre son prénom .
"Au fait , comment tu t'appelle ?"
Et sans attendre sa réponse elle lui prit la main et l'accompagna dans la diréction qui mennait au lycée .

J'avais à peine finit de parler au nouvel arrivant que Olbania le prit et ce mit à le draguer clairement, si il n'en prenait pas conscience , c'était le roi des imbéciles.
Elle lui parlait de Sweet et de ludmaya et... de moi j'étais effarée qu'elle insinue que j'allais me retourner contre ma propre classe, non mais pour qui elle se prenait pour juger les autres comme ça je savait tout de même quelles étaient mes priorités ; j'étais tellement énervée que je faillie lui envoyer mon poing dans sa face de babouin mais elle partis avec le mec sans qu'il est eu le temps de réagir (le pauvre gars )
Par contre au moment où elle lui parlait j'avais sentit en elle un élan d'amour fou; apparemment elle avait un énorme faible pour l'inconnu aux cheveux blanc.

Olbania, ressemblait vraiement à une humaine, elle savait parler, mais la communication de ses jestes et de son atitude était déplorable. Elle commençait à partire avec notre invité d'honneur, elle se croyait vraiement tout permis, je la ratrapa et luis dit:

"Pas si vite, on ne file pas entre mes doigts, tu sais très bien que si tu es là ça n'est pas pour prendre le thé. Tu as fait pile se qui ne fallait pas faire."

Je l'a pris par les cheveux, lui mordis la main pour quel lache le jeune humain, et la balança contre un arbre.

Les évènements défilèrent rapidement... Tout d'abords, la première fille lui expliqua qu'elle n'était pas là au moment des évènements puis, avec une pointe d'humour, lui demanda s'il ne voulait pas être l'invité d'honneur de ce repas... De plus, elle ajouta que s'il voulait partir, il y avait deux chemins possibles mais vu ces explications douteuses, Sony ne pris même pas la peine de l'écouter.
Ensuite, celle qui paraissait être la plus jeune, posa une question (donc Sony ne prêta aucune attention).
La troisième vint lui parler. Elle lui dit que tant que Sony était près d'elle, il ne devait pas avoir peur... Cette remarque le fit grimacer. Lui ? Peur ? La seul chose qui pourrait lui faire peur serait de se retrouver face à un autre Sony parfaitement identique. Et encore.
Le pire fut certainement la quatrième qui prit sa défense. Elle venait d'enfreindre une des douze lois de Sony. Ne jamais prendre sa défense. Elle ajouta qu'il devait se méfier des trois autres. Depuis qu'il était arrivé, il se méfier de tout le monde. C'était des conseils un peu foireux qu'elle lui donnait. Et ce ne fut que quelques secondes plus tard qu'elle fit la pire des choses possibles. Elle l'embrassa. Un monstre venait de l'embrasser.
La plus jeune envoya valser quelques mètres plus loin celle qui venait de commettre "l'ultime sacrilège".
Crachant par terre, Sony regarda les quatre "monstres" qui se tenaient devant lui. Et d'une voix pleine de haine et de rage, il dit...

« Je me nomme Sony Sullivan... Et je vais vous massacrer toutes autant que vous êtes. Rien à battre que vous soyez amis ou ennemis. Je vous tuerai toutes... »

De ses poche arrières, Sony sortit des gants. Il les enfila tranquillement, pour ne pas laisser la rage le submerger. Ces gants étaient de simples gants noirs fait en cuir. Le tissu se déchirait trop facilement. Rien de mieux que le cuir. De plus, son épaisseur réduisait la douleur et empêchait le plus souvent l'os de la main de se briser. Mais dans la tête de Sony, l'utilisation de ces gants avait uniquement pour but de ne pas se salir les mains en frappant des monstres.
Pointant du doigt le groupe de fille, Sony déclara...

« Sept minutes. Il ne m'en faudra ni plus, ni moins pour débarrasser la terre de vos misérables existences. »

Je fus scandalisée par le fait qu'on me parle comme ça, un humain voulait nous tuer, un humain... J'espérais que Lordward pense à moi et qu'il vienne m'aider à remettre en place l'humain agressif.

" Bon Sony, tu vas te calmer, je pense que tu t'énerves pour rien, bon ok Olbania t'a embrassée, mais c'est pas la peine de vouloir nous tué, tu t'imagine si je l'avait pas explosé contre l'arbre elle te tiendrais encore la main."

Je fus tout de même énervée, je sortis mon poignard au cas ou et montra des dents.